La varicelle.
Je savais que mon fils aurait un jour la varicelle. Je voulais qu’il l’attrape suffisamment petit parce que j’avais si souvent entendu que « lorsqu’ils ont petits c’est plus facile ».
Je voulais aussi qu’il l’ait pendant les vacances « parce que c’est mieux que pendant l’école ».
Et toutes ses conditions étaient réunies lorsque mon bonhomme a développé la varicelle. Quelques boutons qui grattent, un mauvais moment à passer et bientôt ce ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Je m’étais trompée.
Alors qu’on présente la varicelle comme une maladie infantile anodine, anecdotique, un examen de passage à l’enfance presque, je ne m’étais pas préparée à ça.
Je n’aurais jamais imaginé que cela endommagerait sa peau à ce point, provoquerait de si fortes fièvres, pendant si longtemps et surtout aboutirait à une hospitalisation (heureusement courte de 24h). J’ai été complètement désarmée devant l’ampleur de cette maladie.
Aujourd’hui il va mieux. Il est fatigué mais a des sursauts d’énergie et a de nouveau envie de manger et jouer.
Ce sera tout de même bientôt plus qu’un souvenir. Peut-être que sa peau en gardera quelques marques mais une chose est sûre c’est que sur chacune de nos photos figurera ce petit bonhomme à pois ❤️